Questões de Língua Francesa do ano 2010

les langues, depuis l’épisode de Babel, ont toujours été la source de l’entente entre les diverses communautés.

une langue est le mode d’expression d’une communauté, son liant et son esprit.

la langue française symbolise pour les pays membres de la Francophonie l’appartenance à une communauté riche, forte des subsides de la communauté européenne.

la Francophonie est un exemple de rassemblement de nations autour d’un projet porté sur leur développement mutuel sur les plans économiques et politiques.

la langue française ne saurait être le point d’ancrage de la Francophonie, car, en tant que langue liée à une culture traditionnelle, elle est stable.

Dans l’expression “bruit lent, inlassable” (ligne 6), “inlassable” veut dire que le bruit des vagues est discontinu.

L’expression “prenant garde” (ligne 20) montre qu’Alexis sort négligemment., sans faire attention.

La forme verbale “J’escalade” peut être remplacée par je dévale sans changer le sens de la phrase.

Dans “je l’emporte partout où je vais” (ligne 6), “ou” est un pronom relatif qui peut être remplacé par dont sans changer le sens de la phrase.

Dans “je l’emporte partout où je vais” (ligne 6), le pronom personnel élidé “l’” remplace le mot bruit.

L’auteur emploie le passé simple pour décrire son enfance, car il s’agit d’un récit.

Alexis craint de faire craquer le plancher tout neuf.

Le sujet de “ Mêlé ” (ligne 2) est “la mer” (ligne 2).

“Du plus loin que” (ligne 1) peut être remplacé par d’aussi loin que sans changer le sens de la phrase.

Dans “Pas un jour sans que j’aille à la mer” (ligne 9), l’auteur veut dire que dans son enfance il n’y allait jamais.

La marée est décrite comme une figure humaine, qui bouge et respire.

Par la description faite de la nature, le lecteur comprend combien le narrateur garde de mauvais souvenirs de cette nature violente.

La nature sert seulement de décor aux souvenirs du narrateur, n’ayant aucune importance pour sa vie adulte.

Le narrateur avait peur de sortir la nuit, car il craignait le noir.

Le jeune Alexis avait l’habitude de fuir la marée montante.